236 sociétés commerciales de l’ESS – Analyse du CNCRESS – 20 juillet 2017

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    Pour être reconnues sociétés commerciales de l’ESS, ces entreprises doivent avoir un but poursuivi autre que le seul partage des bénéfices, être gouvernées de manière démocratique, consacrer majoritairement leurs bénéfices au développement de l’activité et constituer des réserves impartageables. En avril 2017, elles étaient au nombre de 236. Portrait de ces sociétés hybrides.

    Ces sociétés exercent leur activité dans les secteurs de l’économie classique, commerce, autres industries et construction, soutien aux entreprises, contrairement aux secteurs des autres acteurs de l’ESS (action sociale, agriculture, enseignement…).

    Outre la Corse et certains départements d’Outre-mer, les entreprises commerciales de l’ESS sont implantées dans toutes les régions. Arrivent en tête, l’Ile de France, la Nouvelle Aquitaine et la Bretagne. Sont concernés aussi bien les territoires ruraux que les zones urbaines.

    Le statut privilégié des sociétés commerciales de l’ESS est la SAS (société par actions simplifiées). Principalement des TPE de création récente, seules 31 sociétés de l’ESS comprennent plus de 10 salariés. Outre une question de conviction, être une société de l’ESS permet de se démarquer par rapport à ses concurrents, peut rassurer une certaine clientèle et faciliter les contacts avec les partenaires institutionnels. En revanche, ces entreprises expriment une difficulté à mettre en œuvre une gouvernance réellement démocratique, faute souvent de temps à y consacrer.

    Bien que la diversité de ces entreprises rende difficile la définition d’une identité propre, le CNCRESS conclue que «conjointement à l’idée de montrer une nouvelle voie d’entreprendre, les entrepreneurs ont l’envie de démontrer qu’elle est pragmatiquement possible».

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